Suite aux nombreuses disparitions à caractère proche : "vu pour la dernière fois sur le quai du métro de 16h16", les autorité tokyoïtes ont bien dû avouer un léger problème, mais celles-ci ont préféré ignoré qu'il puisse y avoir un lien entre toutes les personnes disparues. "Une coïncidence", ont-elles affirmé.
Extrait d'un communiqué du 26 juillet 2011, en provenance du gouverneur et à destination du maire de Tokyo :

« [...] Concernant le métro de 16h16, veuillez calmez le problème. Une grosse affaire d'importance équivalente dévoilée aux médias devrait étouffer l'affaire pendant un petit moment. Médiatisez par exemple l'histoire du tueur de prostituées de la vingtième, ou du violeur de la quatorzième. La population paranoïera sur autre chose que sur le métro. Cette histoire ne doit pas plus faire parler d'elle.[...] Nous nous donnons rendez-vous dans deux semaines pour voir l'avancement de l'affaire, vous avez toute ma confiance.[...] »

Vous l'aurez compris, cette histoire ne dois pas faire parler d'elle. Pourquoi ? Simplement parce que le dynamisme de la ville repose essentiellement sur un trafic en métro dense. Si un tel évènement inquiétait la foule, plus personne n'oserais prendre le métro, que ce soit celui de 16h16 ou non, ce qui entraînerait un énorme ralentissement dans la vie de la capitale.